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A.S.A

Quel est ton parcours musical, de ta première approche à la musique jusqu'à maintenant ?

 

J’ai commencé à mixer et à produire aux Etats-Unis, je vivais dans une ville ou la fiesta était omniprésente. J’ai enchainé pendant 2 ans à mixer les soirées de campus universitaire et c’est ce qui m’a vraiment poussé à continuer et charbonner dans la musique. Et pour ceux qui se demandent, oui, les soirées ressemblaient beaucoup à ce qu’on voit dans les films mais en plus trash. Au début j’ai vraiment eu du mal à trouver mon identité musical dans la production, mais au fil des années je me suis quand même rendu compte d’un truc, c’est que tout est un remix, et pas que dans la musique. On est tous influencer par notre vécu et l’environnement actuel et aucune création n’est à ce titre 100% original. C’est dans cette mentalité que j’aborde la création de sons aujourd’hui, je prends les éléments que je kiff dans tel ou tel sons pour en créer un nouveau en rajoutant ma petite sauce personnel.

 

Les Artistes qui t'inspirent et que tu nous conseils d'avoir dans un coin de l'oeil ?

 

Amelie Lens et Slam en Techno, L’atelier, KlangKuenstler, Tiger Stripes en Tech House et Joey Pecoraro c’est mon petit kiff quand je rentre chez moi et que je veux détendre mes oreilles après une longue journée.

 

De futurs projets à venir ? Dates auxquelles ont pourra t’écouter ?

 

Yes ! Je travaille en ce moment sur plusieurs productions dont quelques collaborations sympas avec des artistes en tous genres. Le premier son sera prêt pour mi-Décembre, et le reste viendra en 2017. En ce qui concerne les dates, on va mixer ce samedi de 18h à 2h du mat au 45 Tours avec mon collectif Tech Vibes, et on est aussi entrain de taffer sur un gros évent qui pourra accueillir quelques centaines de personnes febut 2017.

 

Que penses tu de l'effervescence de la fête qu'on constate en ce moment à paris ?

 

Après un long exil de 10 ans au Japon et aux Etats-Unis, je suis revenu à Paris il y’a un an et pour être honnête, j’ai été étonné de voir autant d’engouement pour la scène House. Notamment les genres qui sont considérés underground. Je pense qu’on est en train d’assister à la renaissance d’une culture House qui devrait perdurer. Le seul hic que j’ai remarqué, c’est que certaines valeurs essentielles à la House, comme le partage et l’échange, se perdent parfois au milieu des grosses basses et les mélodies trippantes.

 

Jeux de mots des familles :

 

Soleil sous les cocotiers

 

 

 

 

 

 

 

 

métro/boulot/dodo

 

 

DrumCode

 

 

 

 

 

 

 

paye ta bass

 

 

 

 

il est 3h du mat, apogée de la soirée

 

SoulFul music

 

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